Sylvain v2.0

Et voilà je suis très content de pouvoir vous annoncer la disponibilité de mon nouveau livre « Automatisez sous Mac« , disponible chez DigitBooks.

Si vous êtes de deux qui aiment aller plus loin avec leur Mac, ce livre est pour vous! Vous pouvez le télécharger chez Immatériel (sans DRM) ou obtenir un exemplaire papier avec LuLu.

Si vous aimez  goûter avant d’acheter, un bel extrait du livre est aussi en téléchargement chez DigitBooks.

Pour le descriptif  mon éditrice a déjà fait un joli travail. Autant vous en faire profiter!

J’espère que vous aurez autant de plaisir à lire ce livre que j’ai eu à l’écrire. Et au passage, un grand merci à Aurélien et Jean-Marie qui ont pris le temps de me relire.

Apprenez à laisser votre ordinateur prendre en charge les tâches les plus répétitives pour vous concentrer sur l’essentiel.

Automatiser… oui, mais pourquoi ? Pour ne plus effectuer de tâches ennuyeuses et répétitives, mais également pour simplifier l’utilisation du Mac, standardiser des tâches récurrentes ou des procédures, fournir aux utilisateurs d’un même réseau des outils homogènes. Automatiser, oui… mais comment ?Grâce à Automator, le bien nommé, outil intégré à votre Mac lors de son achat, qui vous permettra de piloter plus efficacement votre ordinateur.

Dans cet ouvrage, Sylvain Gamel vous présente Automator, son interface, son fonctionnement. Vous apprendrez ce qu’est un processus, élément de base d’Automator, et comment en créer un. Vous saurez, par exemple, comment construire une planche contact.

L’auteur explique également ce qu’est un service et vous pourrez alors manipuler vos fichiers et dossiers.

Vient ensuite la description des actions de dossier qui permettent aux processus de s’exécuter seuls.

Un long chapitre est consacré aux actions disponibles depuis les applications de votre Mac. Vous disposerez ainsi des outils pour construire vos propres processus et services.

Le chapitre suivant vous permettra de mettre en œuvre ces actions pour créer des processus qui s’intégreront dans le système d’impression du Mac.

Applications, services et modules d’impression sont trois moyens très pratiques pour mettre en place des automatismes dans vos procédures de travail.

Pour finir, vous verrez comment contourner les limitations d’Automator et publier vos propres actions. Un aperçu de ce qu’AppleScript et les scripts Unix pourraient vous apporter conclut le livre.

Apprendre à utiliser Automator, c’est un peu comme apprendre à faire du vélo. Le meilleur moyen reste la pratique. L’auteur vous accompagne donc tout au long de l’ouvrage et vous montre comment maîtriser Automator à l’aide de très nombreux exemples et explications détaillées.

Si vous souhaitez gagner du temps et mieux utiliser votre Mac, n’attendez plus et découvrez l’univers d’Automator.

Non? Alors vous passez peut-être à coté de quelque chose de vraiment unique.

Quartz Composer est un outil de développement visuel unique qui devrait réveiller en vous l’amateur de Lego qui dort en vous. Si vous avez aimé assembler des petites briques de couleurs pour réaliser le vaisseau spatial de vos rêves alors Quartz Composer est fait pour vous!

Pourtant il n’est pas question d’assembler des briques, mais des patches. Qu’est-ce donc? Rien de plus que des traitements graphiques: filtres, contrôles ou outils de dessin. Tous ces éléments peuvent être manipulés dans Quartz Composer pour obtenir des effets visuels, des animations, des transitions pour iMovie, des économiseurs d’écrans. Tout cela pouvant être animé et interactif.

Piochez un patch dans la bibliothèque pour l’assembler avec d’autre et vous allez réaliser des compositions graphiques animées en 2D ou en 3D que vous pourrez même contrôler avec votre souris, la télécommande ou alimenter par un fil RSS.

Ceux qui voudront aller plus loin et repousser les limites peuvent aller jusqu’à écrire leur propre patch, mais là il faudra en passer par XCode.

C’est donc une petite introduction ludique à Quartz Composer que je vous propose dans ce petit article.

Le développement logiciel est souvent couvert d’embuches et les bugs font souvent surface pour nous montrer nos lacune. Le langage Java ne souffre pas d’exception.Suivant le bon principe que mieux vaut prévenir que guérir, j’ai pris l’habitude d’adopter une attitude paranoïaque en suivant quelques règles simples:

• Dans la mesure du possible avoir une couverture d’erreur maximale.
• Autant que possible, je groupe la gestion d’erreur au début et je termine par les cas nominaux.
• J’écris des test unitaires en m’appuyant sur des outils de couverture de code pour m’assurer que les tests sont utiles et valident le maximum de cas.

Je n’ai pas, encore, la bonne habitude d’utiliser un outil de vérification statique comme Checkstyle ou Findbugs.Mes prochains développements en Java devraient voir cette dernière règle s’ajouter à ma petit liste de principes, tout particulièrement à l’aide de l’intégration de Findbugs dans mon environnement préféré, à savoir NetBeans.Ce tutoriel d’une quinzaine de minutes devrait suffire pour vous montrer comment ces deux outils peuvent collaborer pour vous aider à améliorer la qualité de votre code.